Programme

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    CÉRÉMONIE D'OUVERTURE
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    PANEL D'OUVERTURE
    Un New Deal Public-Privé peut-il rebattre les cartes au profit du continent ?

    Le retour en force du nationalisme économique redéfinit les perspectives de croissance mondiale et oblige l’Afrique à repenser l’articulation entre gouvernements et entreprises. Sur le continent, l’industrialisation, la modernisation agricole, l’innovation financière et la transformation numérique demeurent cruciales, mais leur réussite repose sur des partenariats efficaces. Historiquement, les nations qui ont réussi leur transformation économique ont combiné investissement public stratégique et dynamisme entrepreneurial. Dans ce contexte, comment l’Afrique peut-elle structurer un « New Deal » entre l’État et le secteur privé pour accélérer son développement ? 

    Points clés :

    • Gouvernance : comment les États africains peuvent-ils élaborer des politiques publiques plus ‘business-friendly’ ?  
    • Quelles sont les mesures permettant de saisir la dernière fenêtre d’opportunité d’industrialisation dans les domaines de l’énergie, des ressources humaines et du secteur manufacturier ?
    • Comment la ZLECAf peut-elle fédérer la puissance économique du continent dans un monde de plus en plus competitif ? 
    Expert

    Acha LEKE

    Associé principal et Président, McKinsey & Company, Africa
    Intervenant

    Edha NAHDI

    Directeur Général, Amsons Group of Companies
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    PANEL PRÉSIDENTIEL
    Vers une Afrique puissance : quelle intégration économique, politique et commerciale ?

    A l’heure de la grande recomposition des équilibres mondiaux, encouragée par le retour du souverainisme économique et la résurgence des guerres commerciales, les instruments d’une réponse africaine commune se posent avec plus d’acuité que jamais. Les institutions et mécanismes imaginés depuis plusieurs décennies, de l’Union africaine aux zones économiques régionales en passant par la BAD ou la Zlecaf, ne sont pas encore parvenus à offrir les relais de puissance et de croissance espérés. Pire peut-être, le secteur privé n’y a pas trouvé les conditions nécessaires pour s’épanouir et constituer une force économique de premier plan.   

    Ce panel exceptionnel qui réunira cinq Présidents de la République propose de discuter des réformes nécessaires des institutions africaines et de la façon dont Etats et entreprises doivent travailler ensemble pour construire une puissance continentale souveraine et durable.

    Points clès :

    • ⁠New deal public-privé : comment faire des entreprises africaines le véritable moteur de la puissance continentale ?
    • Déglobalisation : quel avenir pour la Zlecaf ?
    • Institutions de financement, Union africaine… : quelles instances pour défendre les intérêts africains face au monde ?
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    STRATEGIC ROUNDTABLE
    Secteur minier : moteur pour accélérer les investissements dans les infrastructures en Afrique?

    La demande mondiale en minéraux stratégiques – cuivre, bauxite, minerai de fer, lithium – pourrait quadrupler d’ici 2040. Détenant près de 30 % des réserves mondiales, l’Afrique est bien positionnée pour répondre à ces besoins. Pourtant, le manque d’infrastructures fiables et de solutions énergétiques abordables freine encore le plein essor du secteur. Comment le secteur minier peut-il devenir un catalyseur d’investissements dans l’énergie et les infrastructures – pour son propre développement, mais aussi pour celui de l’économie africaine dans son ensemble ?

    Points clés :

    • Alors que l’énergie représente jusqu’à 50 % des coûts d’exploitation, quelles solutions innovantes peuvent permettre aux exploitations africaines de réduire leurs charges et de renforcer leur compétitivité ?
    • Routes, rails, ports, réseaux hydrauliques : comment accélérer la mise à niveau des infrastructures nécessaires à l’acheminement des minerais vers les marchés et quel rôle les PPP peuvent-ils jouer ?
    • Comment faire en sorte que les investissements dans les mines profitent aussi aux communautés locales, à l’industrialisation en aval et à l’économie dans son ensemble ?
    Modérateur

    Samira MENSAH

    Directrice Générale Recherche & Analyse Afrique et Responsable Pays – Afrique du Sud, S&P Global
    Intervenant

    H.E. Gwede MANTASHE

    Ministre des Ressources Minérales et du Pétrole, République d'Afrique du Sud
    Intervenant

    Valerie LEVKOV

    Directeur de l'industrie mondial, Énergie & Mines, IFC
    Intervenant

    Samuel GAHIGI

    Dirécteur des Relations Gouvernementales, Afrique, Rio Tinto
    Intervenant

    Ifeanyi ODOH

    Président Directeur Pays, Schneider Electric Kenya
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    INDUSTRY OUTLOOK
    De l'usine au port : les infrastructures, piliers de la révolution industrielle africaine

    Le succès industriel de Tanger Med au Maroc ou la Tema Export Processing Zone au Ghana repose sur la proximité des sites de production avec les ports, les chemins de fer et les axes routiers. La connexion des sites de production aux marchés permet de réduire les coûts et de gagner en compétitivité. Un modèle qui peine à se répliquer tant les investissements en jeu sont immenses. Mais aussi parce que le manque d’énergie paralyse le développement d’industries performantes. Comment systématiser cette approche logistico-industrielle et faire décoller l’industrialisation ? 

    Points clés : 

    • Accès aux matières premières, infrastructures logistiques et énergétiques :  quels leviers pour bâtir des écosystèmes industriels intégrés de l’amont à l’aval ?
    • Gouvernance public-privé : structurer des cadres réglementaires favorisant les investissements tout en assurant un partage de valeur équitable  
    • Coopération régionale : à l’image du projet de ZES des 3 frontières de la CEMAC, comment capitaliser sur les synergies entre pays pour développer des chaînes de valeur transfrontalières ? 
       
    Intervenant

    Adesuwa LADOJA

    Directrice Générale & CEO, Lagos Free Zone (Tolaram)
    Intervenant

    Gérard KOUASSI

    Directeur Général, Porteo BTP Côte d'Ivoire
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    CONVERSATION WITH
    L'Afrique peut-elle faire fonctionner le système fiscal au profit des entreprises locales ?

    L’Africain moyen paie moins de 200 $ par an en impôts, contre plus de 15 000 $ dans les économies avancées, tandis que la mobilisation fiscale est encore sapée par les flux financiers illicites et l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices (BEPS) par les entreprises multinationales. Cela contribue à un fardeau fiscal qui pèse de manière disproportionnée sur les entreprises locales africaines. Comment les entreprises multinationales peuvent-elles être taxées plus efficacement là où elles créent de la valeur ? Comment les gouvernements peuvent-ils trouver un équilibre entre la taxation des entreprises nationales et internationales ? Et comment les organisations internationales peuvent-elles promouvoir la certitude pour les entreprises tout en garantissant que les bases d’imposition africaines sont protégées ? Dans une interview exclusive, Mathias Cormann, Secrétaire général de l’OCDE, explique comment les nations africaines peuvent rééquilibrer le fardeau fiscal.

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    INVEST IN
    CÔTE D'IVOIRE

    Rassemblement annuel de référence du secteur privé africain, l’Africa CEO Forum consacre une large part de ses activités au dialogue entre décideurs publics et leaders du monde des affaires. Dans le cadre des sessions «Invest In», les plus hautes autorités de pays africains, Premiers ministres, ministres et hauts fonctionnaires, exposent leur stratégie de développement économique aux investisseurs et PDG. Ces conférences sont l’occasion de dialoguer librement avec les délégations officielles sur de nombreux sujets, de l’environnement des affaires aux projets d’investissements public et privé.  

    Intervenant

    H.E. Nialé KABA

    Ministre de l'Economie, du Plan et du Développement, République de Côte d'Ivoire
    Intervenant

    H.E. Moussa SANOGO

    Ministre du Patrimoine, du Portefeuille de l'Etat et des Entreprises Publiques
    Intervenant

    H.E. Adama COULIBALY

    Ministre de l'Économie et des Finances, République de Côte d'Ivoire
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    PANEL
    L’IA, catalyseur du New Deal public-privé en Afrique

    Les technologies numériques dont l’Intelligence Artificielle (IA) pourraient générer jusqu’à 1,5 trillion $ de croissance pour l’Afrique d’ici 2030, mais leur mise en œuvre reste freinée par un déficit d’infrastructures, de compétences et de coordination stratégique. Pour faire de l’IA un levier d’inclusion et de productivité, États et entreprises doivent conjuguer leurs efforts. Ce panel réunira des décideurs publics et privés pour poser les bases d’un écosystème IA africain performant, souverain et inclusif.

    Points clés

    • Comment structurer des partenariats public-privé efficaces pour accélérer l’adoption de l’IA dans les secteurs clés (santé, finance, agriculture) ?
    • Quels modèles réglementaires et incitations fiscales pour attirer les investissements privés dans l’IA ?
    • De la connectivité aux talents : quelles conditions réunir pour faire émerger des hubs IA africains compétitifs ? 
    Intervenant

    Mark-Alexandre DOUMBA

    Ministre de l'Economie numérique, de la digitalisation et de l’innovation, République Gabonaise
    Intervenant

    Sanda OJIAMBO

    Sous-Secrétaire générale & CEO, Pacte mondial des Nations Unies
    Intervenant

    Annick SAKHO

    Directrice Côte d'Ivoire & Affaires gouvernementales - Afrique
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    STRATEGIC ROUNDTABLE
    La Coalition Pétrolière Africaine
    Du potentiel à la puissance : l’heure des champions Oil & Gas africains

    Participation en s’inscrivant via l’appli ou sur invitation. Session réservée aux participants du secteur Oil & Gas et aux médias.

    Pendant des décennies, les ressources en hydrocarbures de l’Afrique ont été façonnées par les tendances du marché mondial, depuis l’ère de l’OPEP jusqu’au discours actuel sur la transition énergétique. Trop souvent, le potentiel en hydrocarbures du continent a été considéré comme un réservoir mondial plutôt que comme un moteur de la croissance africaine. Mais avec l’évolution des perceptions mondiales sur la nature et le calendrier de la transition, l’industrie africaine du pétrole et du gaz a une nouvelle opportunité : celle d’être le moteur de l’avenir énergétique et de l’expansion industrielle du continent.  
    La Coalition africaine du pétrole et du gaz rassemble des acteurs africains de tous les secteurs des hydrocarbures, ainsi que des compagnies pétrolières nationales et des représentants du secteur public, afin de répondre à la question la plus importante : comment les hydrocarbures africains peuvent-ils devenir la flamme qui stimule la croissance de l’Afrique ? 

    Points clés

    • Des capitaux africains pour des projets africains : comment améliorer l’accès au financement africain pour les projets d’hydrocarbures à l’ère des capitaux coûteux et des scénarios géopolitiques incertains ?
    • Poussée publique-privée : alors que diverses compagnies pétrolières nationales cherchent à accroître leur efficacité et à se privatiser, comment les acteurs du secteur privé africain peuvent-ils aider et soutenir cette tendance ?
    • Des amis, pas des ennemis : les compagnies pétrolières internationales restent des acteurs majeurs en Afrique. Quelles sont les meilleures stratégies pour favoriser les coentreprises gagnant-gagnant qui stimulent une croissance tirée par l’Afrique ? 
    Intervenant

    H.E. Gwede MANTASHE

    Ministre des Ressources Minérales et du Pétrole, République d'Afrique du Sud
    Intervenant

    Joe SANG

    Directeur général, Kenya Pipeline Company
    Intervenant

    Kamel KONE

    Président, GESPETROGAS-CI
    Intervenant

    Olu VERHEIJEN

    Conseillère spéciale du Président nigérian pour l’Énergie
    Intervenant

    Sid'Ahmed Ould BOUH

    Ministre de l’Economie et des Finances, République islamique de Mauritanie
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    WFC WORKSHOP
    Repensons le pouvoir : Le leadership féminin comme avantage concurrentiel

    Le leadership diversifié en termes de genre n’est plus simplement une nécessité morale — c’est un moteur de performance. Les entreprises comptant plus de femmes dans des postes de direction sont 25 % plus susceptibles de réaliser une rentabilité supérieure à la moyenne. Pourtant, en Afrique, les femmes restent sous-représentées dans les plus hauts niveaux de pouvoir dans les entreprises, malgré leur leadership dans l’entrepreneuriat et l’innovation. Cet table ronde en petit groupe réunira un éventail de PDG, membres de conseils d’administration et investisseurs masculins et féminins pour un échange franc : comment les entreprises peuvent-elles passer de l’ambition à l’action en matière de leadership féminin ? Quels leviers pratiques — modèles de gouvernance, pipelines de talents, répartition du capital — peuvent permettre de débloquer un progrès réel et durable ? Et quelle responsabilité partagée la haute direction doit-elle prendre pour accélérer ce changement ?

    Points clés :

    • De l’ambition à l’architecture : intégrer l’équité entre les sexes dans la conception des entreprises
    • Partage du pouvoir : permettre aux femmes d’accéder au capital, à l’influence et aux décisions clés
    • Responsabilité au sommet : comment faire du gender mainstreaming une étape intégrée de la gouvernance
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    PANEL
    Impôts : peut-on mobiliser les ressources domestiques sans tensions ?

    Les récentes manifestations contre les réformes fiscales au Kenya, en Somalie et au Nigeria ont mis en évidence les défis de l’augmentation du ratio impôts/PIB en Afrique qui reste faible (16,5%). Simplification des processus, inclusion du secteur privé dans le processus de décision, coût social : certains pays, comme Maurice et le Rwanda, ont réussi à améliorer la collecte des impôts en simplifiant les processus et en adoptant des solutions numériques. Quelles sont les recettes pour réussir les réformes fiscales ? 

    Points clés 

    • Dialogue entre secteur privé et gouvernements : comment mettre en place des concertations plus efficaces ?
    • Produits alimentaires de base & mobile money : quels secteurs doivent être exemptés ou faire l’objet d’une fiscalité plus stratégique ? 
    • Au-delà du service de la dette : comment canaliser l’épargne vers des investissements favorisant le développement économique ? 
    Modérateur

    Julians AMBOKO

    Rédacteur en chef économie, Nation Media Group
    Intervenant

    Martin OCHIEN'G

    Directeur général du groupe et CEO, Sasini PLC
    Intervenant

    Henry OROH

    Directeur exécutif & membre du conseil d'administration, Zenith Bank Plc
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    STRATEGIC ROUNDTABLE
    Construire, s'associer ou louer : quels facteurs de succès pour la transformation digitale africaine ?

    Participation en s’inscrivant via l’appli ou sur invitation. Traduction anglais-français disponible

    Clouds, tours télécoms, datas : l’avenir numérique de l’Afrique repose sur l’interconnexion. Or les inégalités de débit, les coûts énergétiques élevés, la volatilité des devises et la fiscalité compromettent la collaboration des opérateurs et des gestionnaires. Les leaders du secteur réunis lors de cette table ronde réfléchiront aux modèles de financement et aux cadres réglementaires indispensables pour assurer l’avenir numérique du continent.

    Points clés

    • Quelles stratégies pour renforcer la résilience des réseaux à haute capacité et accélérer le déploiement d’infrastructures télécoms, notamment dans les zones mal desservies ?
    • Avec un secteur privé en première ligne, comment les nouveaux montages financiers, les partenariats stratégiques et la coopération entre opérateurs et towercos peuvent-ils favoriser une croissance durable et inclusive ?
    • Quel rôle les décideurs publics doivent-ils jouer pour instaurer un climat propice à l’investissement et à l’accélération de la transformation numérique ? 
    Modérateur

    Tolu OYEKAN

    Directeur Général et Associé, Responsable de BCG Nigeria, Boston Consulting Group
    Président(e)

    Dr. Jumoke ODUWOLE

    Minister of Industry, Trade and Investment, Federal Republic of Nigeria
    Intervenant

    Marek BUSFY

    Senior Vice President & CEO, American Tower - Afrique & Asie
    Intervenant

    Sarvesh SURI

    Directeur Régional Afrique Infrastructures & ressources naturelles, SFI
    Intervenant

    Dr. Jumoke ODUWOLE

    Ministre de l'Industrie, du Commerce et de l'Investissement, République Fédérale du Nigeria
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    STRATEGIC ROUNDTABLE
    "Capital patient", impact à grande échelle : quel avenir pour le financement du développement ?

    Participation en s’inscrivant via l’appli ou sur invitation. Traduction anglais-français disponible

    Alors que l’aide traditionnelle est en partie en train de disparaître, les frontières entre philanthropie, capital privé, finance publique et financement du développement s’estompent, avec un virage vers des modèles bancables et axés sur les résultats. La philanthropie connaît une mutation radicale, privilégiant l’investissement stratégique plutôt que la simple charité, la viabilité financière plutôt que la dépendance, et l’impact concret plutôt que la rhétorique. De plus en plus d’exemples prouvent que rentabilité et retour social peuvent aller de pair. Mais comment structurer le financement du développement pour en faire un véritable levier d’investissement ?


    Points clés :

    • De quelles manières structurer les initiatives sociales pour attirer des investisseurs tout en générant un impact mesurable et durable ?
    • Avec le déclin de l’aide traditionnelle, comment mobiliser investisseurs privés, philanthropes et entreprises pour financer des solutions à grande échelle ?
    • Comment appliquer les principes de l’investissement à la philanthropie pour maximiser l’impact sans compromettre la mission ?
    Intervenant

    John HUMPHREY

    Commissaire au Commerce de sa Majesté Britannique pour l'Afrique
    Intervenant

    Amb. Troy FITRELL

    Haut responsable des affaires africaines, U.S. Department of State
    Intervenant

    Harold TAVARES

    Directeur exécutif pour le Groupe II de l’Afrique, Conseil d’administration du Groupe de la Banque mondiale
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    Conversation With
    La souveraineté numérique africaine : mirage ou révolution en marche ?

    Alors que les données, les infrastructures technologiques et les plateformes numériques redessinent les rapports de force mondiaux, la souveraineté numérique s’impose comme un enjeu stratégique prioritaire pour l’Afrique. Dans cet entretien exclusif avec Marwane Ben Yahmed, Directeur de la publication de Jeune Afrique, le Président sénégalais Bassirou Diomaye Faye partage sa vision d’un New Deal technologique pour le continent.

    De la nécessaire maîtrise des infrastructures numériques à la réduction de la dépendance vis-à-vis des acteurs étrangers, en passant par les réformes à mener pour faire du numérique un levier de transformation structurelle, le chef de l’État sénégalais revient sur les choix stratégiques du Sénégal et les conditions d’émergence d’une souveraineté numérique africaine durable.

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    CONVERSATION WITH
    Se réinventer pour durer

    Selon Aigboje Aig-Imoukhuede, cofondateur du Tengen Family Office, l’échec de l’Afrique à faire prospérer ses entreprises familiales sur plusieurs générations freine son développement économique. Dans une conversation exclusive, il explore avec Acha Leke, Associé principal du bureau de Johannesburg, Président du groupe de travail Afrique chez McKinsey, les leviers de transformation : gouvernance, philanthropie, succession structurée… Comment passer de la survie à la transmission, et bâtir des champions familiaux à l’africaine ? 

    Modérateur

    Acha LEKE

    Associé principal et Président, McKinsey & Company, Africa
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    PANEL
    Régulation de l’IA : quel modèle pour l’Afrique ?

    Alors que la régulation de l’IA s’impose comme un enjeu majeur à travers le monde, trois modèles de gestion de l’intelligence artificielle dominent déjà le paysage : aux États-Unis, c’est l’approche de financement massif et d’auto-régulation qui prévaut. L’Europe, avec son AI Act, s’impose comme le leader de la régulation. Pendant ce temps, la Chine mise sur une IA frugale et centralisée. L’Afrique peut-elle tracer une quatrième voie, inspirée de ses réalités et de ses ambitions ? 

    Points clés

    • Gouvernance africaine : comment s’assurer que le continent ne subisse pas les conséquences des choix technologiques des grandes puissances ?
    • Quel visage prendra l’IA sur le continent face aux défis liés à l’énergie et aux infrastructures cloud ?
    • IA appliquée : quelles opportunités immédiates pour les entreprises africaines ? 
    Modérateur

    Manal BERNOUSSI

    Fondatrice & Directrice Générale, Leaders on Purpose
    Intervenant

    Adrian CLAMP

    Directeur Monde entreprise connectée, KPMG
    Intervenant

    Catherine MURAGA

    Directrice Générale, Microsoft Africa Development Center
    Intervenant

    Hardy PEMHIWA

    Président & CEO, Cassava Technologies
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    INDUSTRY OUTLOOK
    Pas de réseau, pas de croissance : comment résoudre l'équation du transport électrique ?

    Avec à peine 150 000 km de lignes de transport électrique, l’Afrique ne dispose pas d’une capacité suffisante pour couvrir ses besoins énergétiques présents et à venir, une situation qu’aggravent les inefficiences opérationnelles. Réduire les pertes de transport et améliorer l’interconnexion régionale est essentiel pour assurer un accès stable et compétitif à l’électricité. De la création de marchés régionaux à la résolution des défis techniques, quels rôles les gouvernements, entreprises et investisseurs peuvent-ils jouer pour accélérer la transition vers l’autosuffisance énergétique ? 

    Points clés :

    • Harmonisation technique, coordination, gouvernance : comment développer les réseaux électriques régionaux ?
    • La hausse de la demande des consommateurs et les succès des PPP peuvent-ils attirer davantage de capitaux privés dans les projets de transmission ?
    • Comment les financements des institutions de développement (DFI) peuvent-ils rééquilibrer les portefeuilles d’investissement en faveur des infrastructures de transport ? 
    Modérateur

    Julien WAGNER

    Responsable Diversification Media, Jeune Afrique Media Group
    Intervenant

    Ali HJAIEJ

    Vice-Président, Karpowership
    Intervenant

    Walid SHETA

    Président de la zone Moyen-Orient et Afrique, Schneider Electrics
    Intervenant

    Ousmane DIONE

    Vice-Président régional, Moyen-Orient et Afrique du Nord, Banque Mondiale
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    PANEL
    Se réinventer pour durer : les secrets des entreprises familiales qui surperforment

    Les entreprises familiales représentent près de trois quarts du PIB mondial et emploient 60 % de la main d’œuvre. Pourtant, seule une minorité – 3 % en Afrique, 5 % dans le monde – parvient à franchir le cap de la troisième génération. En cause : des tensions générationnelles sur la vision à adopter, les choix de diversification, la gestion des talents ou encore la gouvernance. Pour la nouvelle génération de dirigeants, quels sont les leviers à activer pour inscrire une entreprise familiale dans la durée ? Que peuvent apprendre les nouveaux dirigeants de leurs aînés ?  

    Points clés

    • Accès à de nouvelles technologies, industries et zones géographiques : réussir sa diversification grâce aux fusions-acquisitions notamment
    • Des conseils d’administration indépendants à la mise en place de family offices, quels sont les facteurs clés de succès en matière de bonne gouvernance ?
    • Au-delà de l’attraction : comment identifier, former et développer les meilleurs employés pour les fidéliser ? 
    Modérateur

    Rufai OSENI

    Journaliste présentateur, Arise TV
    Expert

    Acha LEKE

    Associé principal et Président, McKinsey & Company, Africa
    Intervenant

    Marième NGOM

    Directrice Générale, Sertem Property Management
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    PANEL
    Crise du capital : le secteur privé africain peut-il résister à la hausse des coûts de financement des projets ?

    La hausse des taux d’intérêt met sous pression les entreprises africaines cherchant à lever des fonds pour leur expansion et leurs opérations. Pourtant, les flux de capitaux évoluent, avec les États-Unis et les pays du Golfe adoptant des stratégies pro-secteur privé. Comment les entreprises africaines peuvent-elles capter ces nouveaux capitaux tout en surmontant l’instabilité macroéconomique, la volatilité des devises et les faiblesses en matière de gouvernance ? Les mécanismes d’amélioration du crédit et la finance mixte peuvent-ils dépasser les interventions spécifiques aux projets pour renforcer le financement à grande échelle ?

    Points clés :

    • Comment capter les capitaux des fonds américains, du Golfe et européens ciblant le secteur privé ?
    • Le recours au capital institutionnel local et au financement mezzanine peut-il être généralisé auprès du secteur privé ?
    • Quelles mesures concrètes pour démocratiser la finance mixte  ?
    Modérateur

    David PILLING

    Rédacteur en chef Afrique, Financial Times
    Expert

    Marie DIRON

    Directrice Générale - Risque souverain, Moody's
    Intervenant

    Karim NOUJAIM

    Fondateur et associé gérant, Skykapital
    Intervenant

    Jyoti JEETUN

    Ministre des Services Financiers et de la Planification Économique, République de Maurice
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    INDUSTRY OUTLOOK
    Codes miniers : la manière forte apporte-t-elle des résultats ?

    Un nombre croissant d’États africains réforment leurs codes miniers pour mieux valoriser leurs énormes ressources, notamment en minéraux critiques dont la demande mondiale devrait atteindre 16 000 milliards $ d’ici 2050. Ghana, Mali, Cameroun, Tanzanie, Zimbabwe, Guinée, Namibie : en plus d’une participation accrue de l’Etat aux bénéfices, d’une hausse des taxes et de transferts de technologies, les pays mettent de plus en plus l’accent sur la transformation locale. Mais ces politiques nationalistes génèrent des conflits avec les investisseurs dans certains cas et les pays pris individuellement peinent à financer eux-mêmes les usines de transformation. Comment l’Afrique peut-elle concilier contenu local et compétitivité ? 

    Points clés :

    • Redevances, impôts, participation au capital des entreprises : comment garantir une juste répartition des revenus entre États et sociétés minières internationales ?  
    • Interdictions d’exportations, formation du capital humain, Zones Economiques Spéciales, production d’énergie : quels leviers pour booster la transformation locale ? 
    • ZLECAf : comment créer des économies d’échelle en regroupant les productions pour catalyser les investissements ? 
    Modérateur

    Louise MARGOLIN

    Rédactrice en Chef Adjointe, Africa Business+, Jeune Afrique Media Group
    Intervenant

    Seydou COULIBALY

    Directeur Général des Mines et de la Géologie, Ministère des Mines, du Pétrole et de l’Énergie de Côte d'Ivoire
    Intervenant

    Steven FOX

    Président exécutif et Fondateur, Veracity
    Intervenant

    Valerie LEVKOV

    Directeur de l'industrie mondial, Énergie & Mines, IFC
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    STRATEGIC ROUNDTABLE DISRUPTERS CLUB
    Les super apps révolutionneront-elles l'économie numérique africaine ?

    Participation en s’inscrivant via l’appli ou sur invitation. Traduction anglais-français disponible

    Avec 800 millions de comptes de mobile money actifs, l’économie numérique africaine est en pleine mutation. Les super applications et les fintechs rivalisent avec les banques et les opérateurs télécoms pour s’imposer dans l’univers du portefeuille numérique. Avec un fort taux de pénétration mobile et une infrastructure financière encore fragmentée, le continent a vu émerger des plateformes « mobile-first » qui transforment le paysage financier. Pourtant, les banques traditionnelles et les télécoms conservent un avantage majeur grâce à l’étendue de leur réseau et à la confiance des consommateurs. Dans ce contexte, quelle combinaison d’innovation, de régulation et de partenariats stratégiques permettra aux nouveaux entrants de prendre l’ascendant ?  

    Points clés :

    • Comment les fintechs et les super apps peuvent-elles s’imposer face à des banques et à des opérateurs télécoms solidement ancrés dans le paysage financier africain 
    • Intelligence artificielle, blockchain, plateformes mobiles : comment ces technologies transforment- elles les services financiers traditionnels ? 
    • Les fintechs et les acteurs historiques vont-ils collaborer pour élargir leur influence, ou la concurrence sera-t-elle le principal catalyseur d’innovation et de conquête du marché ? 
    Modérateur

    Marshal LUUSA

    Associé et Responsable de la technologie et de l'innovation, KPMG
    Intervenant

    Babacar SECK

    Fondateur et Associé Gérant, Askya Investment Partners
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    WORKSHOP
    Entreprises familiales : structurer la gouvernance et la succession pour une réussite à long terme

    Quels sont les deux piliers essentiels de la réussite d’une entreprise familiale ? Cet atelier s’adresse aux dirigeants d’entreprises familiales qui s’engagent à créer des héritages durables. Il explore la manière de créer l’unité familiale et la clarté des objectifs, et de gérer la succession au sein de la famille. En partageant les meilleures pratiques en matière de gouvernance et de planification de la succession, les participants obtiendront des informations utiles pour renforcer la cohésion, assurer la continuité et favoriser la longévité de leurs entreprises à travers les générations.

    Organisé par l’IESE Business School, en collaboration avec Strathmore Business School (Kenya) et MDE Business School (Côte d’Ivoire).

     

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    INVEST IN
    GUINÉE

    Rassemblement annuel de référence du secteur privé africain, l’Africa CEO Forum consacre une large part de ses activités au dialogue entre décideurs publics et leaders du monde des affaires. Dans le cadre des sessions «Invest In», les plus hautes autorités de pays africains, Premiers ministres, ministres et hauts fonctionnaires, exposent leur stratégie de développement économique aux investisseurs et PDG. Ces conférences sont l’occasion de dialoguer librement avec les délégations officielles sur de nombreux sujets, de l’environnement des affaires aux projets d’investissements public et privé.  

    Intervenant

    Aguibou Saada LY

    Fondateur - Directeur Général, INTERNATONAL BUSINESS SOLUTIONS
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    INDUSTRY OUTLOOK
    Hydrocarbures : pourquoi le retrait des majors constitue une chance pour les champions locaux émergents ?

    Alors que les sociétés internationales de pétrole et de gaz (O&G) se séparent de leurs actifs en eaux profondes africains, les entreprises nationales acquièrent des actifs terrestres stratégiques. En dépit des efforts des États africains pour développer des industries extractives, les acteurs locaux compétitifs sont encore rares, freinées par des défis persistants en matière de financement et de gouvernance. Pourtant de nouveaux champions tels que Oando, Seplat et Renaissance se révèlent capables de naviguer dans un monde où l’énergie est devenue un levier de pouvoir. L’industrie pétrolière et gazière africaine est-elle prête à saisir cette opportunité historique ?

    Points clés :

    • Financement local : la Banque africaine de l’énergie et d’autres financiers africains de projets O&G accéléreront-ils l’essor des champions africains du secteur ?
    • Après des décennies de politiques de contenu local, voit-on enfin les résultats avec une main-d’œuvre technique qualifiée et des fournisseurs expérimentés ?
    • Se diversifier ou disparaître : les acteurs africains doivent-ils imiter les stratégies de diversification des majors européennes, adopter la spécialisation des groupes américains — ou explorer d’autres voies ?
    Intervenant

    Cyril RUCHONNET

    Directeur de recherche associé pour l'énergie upstream, S&P Global Commodity Insights
    Intervenant

    H.E. Gwede MANTASHE

    Ministre des Ressources Minérales et du Pétrole, République d'Afrique du Sud
    Intervenant

    Nimit SHAH

    Directeur financier, Vivo Energy
    Intervenant

    Joe SANG

    Directeur général, Kenya Pipeline Company
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    FACE À FACE
    Notations souveraines : l’Afrique est-elle évaluée équitablement ?

    Les agences de notation financières jouent un rôle clé dans l’accès des pays africains au financement, mais leurs méthodes sont critiquées pour des biais systémiques renchérissant la dette et freinant les investissements. Selon une étude du PNUD, l’Afrique supporterait un coût estimé à 74,5 milliards $, entre intérêts excédentaires et financements perdus. De leur côté, les agences de notation telles Moody’s défendent des critères objectifs et une évaluation fondée sur le risque réel. Ce face-à-face sans filtre confrontera deux débatteurs pour questionner l’impact des notations et explorer les pistes d’évolution. 

    Intervenant

    Marie DIRON

    Directrice Générale - Risque souverain, Moody's
  • (GMT)
    CONVERSATION WITH
    Accélérer l’intégration africaine grâce au secteur privé

    Wamkele Mene, Secrétaire Général de la ZLECAf, Samaila Zubairu, Président & CEO de Africa Finance Corporation (AFC) et et Roosevelt Ogbonna, Directeur général et CEO d’Access Bank, misent sur le secteur privé pour donner un coup d’accélérateur à l’intégration continentale. Le premier met en avant les progrès réalisés grâce au livret tarifaire électronique ou au fonds d’ajustement qui permet de remédier aux disparités économiques. Le second, fraichement nommé à la tête de l’Alliance des institutions financières multilatérales africaines, appelle à des synergies renforcées entre capitaux publics et privés pour financer les priorités africaines.  Ogbonna, à la tête d’un groupe bancaire panafricain engagé dans le financement du commerce et l’expansion régionale, partage son expérience du terrain. Au cours de cette conversation exclusive, les trois dirigeants livrent leur vision d’une intégration portée par les entreprises africaines dans un monde où le commerce est plus que jamais une arme. 

    Intervenant

    Samaila ZUBAIRU

    Président & CEO, Africa Finance Corporation (AFC)
  • (GMT)
    DISRUPTERS CLUB
    Investir dans les start-ups : comment identifier les pépites au-delà des effets de mode ?

    L’écosystème tech africain a connu une décennie de hauts et de bas : croissance fulgurante, valorisations en milliards $, puis effondrements soudains. La chute de 54Gene, Dash et Sendy, malgré plus de 200 millions $ levés, a soulevé des doutes sur la viabilité du secteur. Pourtant des succès comme Moniepoint, Paystack et Yoco prouvent qu’un potentiel durable existe, et l’IA générative fait partie des nouveaux marchés qui attirent les investisseurs. Mais comment distinguer l’engouement passager des vraies opportunités et repérer un potentiel durable dans cet écosystème volatil ? 

    Points clés :

    • Signaux d’alerte & due diligence : comment les investisseurs peuvent-ils évaluer efficacement la santé financière, l’intégrité des fondateurs et le potentiel d’évolutivité d’une entreprise ?
    • Quels traits communs distinguent les start-ups qui prospèrent, et comment les investisseurs peuvent-ils les repérer dès les premiers stades pour assurer un succès durable ?
    • Comment l’essor de l’IA générative et l’évolution des dynamiques de marché façonneront-ils la prochaine vague d’opportunités à fort impact ? 
    Intervenant

    Lina KACYEM

    Associée Gérante Afrique francophone, Launch Africa Ventures
    Intervenant

    Farid FEZOUA

    Directeur Mondial de la Santé et de l'éducation, IFC
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    PANEL
    Financement local et philanthropie peuvent-ils compenser la baisse de l’aide au développement ?

    Le retrait de la majeure partie de l’aide américaine à l’Afrique en début d’année ouvre une opportunité stratégique : celle de redéfinir la philanthropie comme un levier majeur de financement du développement sur le continent. Toutefois, des obstacles structurels entravent encore les fondations privées, les empêchant d’exploiter pleinement leur potentiel en matière de développement. Plus que jamais, l’Afrique doit mobiliser ses propres ressources pour soutenir des transformations locales durables. Comment les initiatives et financements africains peuvent-ils répondre au retrait progressif de certains partenaires internationaux ?

    Points clés :

    • Quel est le nouveau rôle des organisations philanthropiques internationales dans cet écosystème en rapide évolution ?  
    • Comment les entreprises et les gouvernements peuvent-ils soutenir des initiatives communautaires et de base pour combler le fossé du développement économique ?  
    • Quels modèles et partenariats innovants permettent de renforcer le développement durable et l’impact social en dehors de l’aide internationale traditionnelle ?
    Modérateur

    John McDERMOTT

    Correspondant en chef pour l'Afrique , The Economist
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    CASE STUDY
    Comment plus de 70 PDG de la Africa Business Leaders Coalition (ABLC) renforcent la voix de l’Afrique sur la scène mondiale

    Ouvert à tous les participants – mais les places sont limitées, il est recommandé d’arriver quelques minutes en avance

    Alors que les dynamiques internationales évoluent constamment, les appels à établir un nouveau contrat entre les secteurs public et privé se multiplient. Cette session présente l’Africa Business Leaders Coalition (ABLC) comme une étude de cas illustrant la réponse coordonnée des dirigeants africains face à ces enjeux, notamment sur le climat, l’égalité des genres et la transformation économique. Avec la participation de leaders membres de la coalition, la rencontre mettra en lumière l’engagement de l’ABLC dans les grandes instances mondiales telles que la COP et l’Assemblée générale des Nations Unies, partagera les enseignements des membres influençant l’investissement et les politiques publiques, et analysera comment le secteur privé africain peut s’exprimer d’une seule voix pour influencer l’agenda mondial.

    Intervenant

    Martin OCHIEN'G

    Directeur général du groupe et CEO, Sasini PLC
    Intervenant

    Sanda OJIAMBO

    Sous-Secrétaire générale & CEO, Pacte mondial des Nations Unies
    Intervenant

    Tom GITOGO

    Directeur général du groupe et CEO, Britam Holdings
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    PANEL DES PREMIERS MINISTRES
    New Deal État-secteur privé : créer des partenariats mutuellement bénéfiques

    Selon une récente étude mondiale, 60 % des ministres estiment que le gouvernement du futur collaborera davantage avec le secteur privé. Si en Afrique la quasi-totalité des États disposent de législations encadrant les partenariats stratégiques avec le privé, ce dernier reste globalement mécontent vis à vis des politiques publiques. Face aux multiples défis – boom démographique, pressions budgétaires, nécessités d’accélérer l’industrialisation et l’intégration régionale notamment – quels modèles de collaboration peuvent garantir à la fois l’intérêt public et une attractivité durable pour les investisseurs ? Trois premiers ministres de Côte d’Ivoire, Tanzanie, Cameroun et de Guinée répondent à Patrick Smith, journaliste chez The Africa Report.  

    Points clés :  

    • Gouvernance : de l’expertise sectorielle et technologique aux compétences en management stratégique, comment les États peuvent-ils capitaliser sur le savoir-faire du privé pour concevoir et exécuter des politiques publiques plus efficaces ?
    • À l’image de la China Development Bank, comment les banques de développement africaines peuvent-elles structurer des financements stratégiques pour accélérer le développement industriel ?  
    • ZLECAf: quelles initiatives politiques pour que l’intégration régionale profite plus rapidement au secteur privé ? 
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    FACE À FACE
    Le nucléaire est-il le bon pari, ou l'Afrique devrait-elle privilégier les énergies renouvelables ?

    Les ambitions nucléaires de l’Afrique s’accélèrent, avec l’Égypte et l’Afrique du Sud en tête, et des acteurs émergents comme le Nigeria, le Ghana, le Maroc et le Kenya qui leur emboîtent le pas. Le nucléaire offre une solution de base à faible émission de carbone, mais avec des prix de plusieurs milliards de dollars, d’énormes difficultés de financement et des délais de construction de plusieurs décennies, sa faisabilité en Afrique reste incertaine. En revanche, les coûts de l’énergie solaire et éolienne ont chuté de 90 % et 70 % respectivement au cours de la dernière décennie, permettant un déploiement plus rapide et attirant davantage d’investissements privés, mais se heurtant à des problèmes d’intermittence et de stabilité du réseau. Alors que la demande énergétique de l’Afrique devrait tripler d’ici 2050, le continent doit-il faire le pari du nucléaire ou miser encore plus sur énergies renouvelables ?

    Modérateur

    Julians AMBOKO

    Rédacteur en chef économie, Nation Media Group
    Intervenant

    Tony TIYOU

    Président, Renewables in Africa
    Intervenant

    Loyiso TYABASHE

    PDG Groupe, South African Nuclear Energy Corporation (Necsa)
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    Dîner de Gala & Cérémonie des Awards
    Modérateur

    Rayana ASSI

    Responsable Marketing & Communication, Paynah