En Afrique, moins de 10 % des investissements dans les infrastructures proviennent de sources privées (banques, private equity…). Malgré des besoins colossaux (entre 100 et 170 mds $ par an), et en dépit de ressources importantes, les investisseurs africains institutionnels (fonds de pension, assureurs, fonds souverains, Caisses de dépôts) comme privés peinent à apporter leur écot. Taux de rentabilité jugés insuffisants, perception du risque et réglementation pour les premiers, capacité à assurer des prêts de long terme pour les seconds… les obstacles sont nombreux. Sur le modèle des infrastructures télécoms qui ont su attirer ces investisseurs ces dernières années, comment les inciter maintenant à pourvoir aux autres secteurs ?
Points clés
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Banques : comment construire une offre adaptée aux besoins de long terme ?
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Les Caisses de dépôt, un business model à suivre pour relever le défi de l’africanisation ?
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Family offices, fonds de pension… Comment mobiliser les ressources disponibles sur le continent ?